Présentation

Ateliers de gestion du stress, des émotions, des troubles du sommeil, pré et post-natal... par la Sophrologie - Relaxation, Hypnothérapie et techniques dites "sophro-compatibles"

Accompagnement et Relation d'aide par les approches thérapeutiques pluridisciplimaires et holistiques telles que les pratiques psycho-corporelles et "sophro-compatibles"

jeudi 6 août 2015

On a testé une séance de sophrologie

 
 
Quel est l’objectif ultime de la sophrologie ?
 
Virginie Briche : « L’accompagnement a porté ses fruits quand les patients ont acquis la capacité d’être eux-mêmes. On accueille parfois quelqu’un qui a perdu la joie de vivre et qui, à l’issue de quelques séances seulement, retrouve l’envie de faire des choses et d’avancer dans des projets.
La sophrologie travaille à changer une perception, à remettre du lien entre le corps et le mental. Comme on vit dans des sociétés où tout va très vite, on est dans la pensée permanente et on perd souvent ce lien entre le corps et l’esprit. Une fois que nous l’avons récupéré, cela permet de faire sa météo interne: dès que l’on ne se sent pas bien, on utilise les techniques pour se rééquilibrer et réajuster notre mental.

L’objectif d’un sophrologue est de donner des clés. La notion d’autonomie est très importante en sophrologie : cela aide les gens à devenir acteurs de leur propre vie. »
 
On a testé une séance de sophrologie
 
La séance commence debout, face à la thérapeute, qui me montre quelques exercices de respiration à suivre. Je ferme les yeux et je me concentre sur une respiration située au niveau du ventre, comme celle que font les bébés et que de nombreuses personnes perdent en grandissant pour respirer davantage au niveau de la poitrine.
La sophrologue utilise des images pour m’aider : par exemple, pour expirer par la bouche, elle me demande d’imaginer que je souffle dans une paille. Ces exercices me procurent assez rapidement une sensation de détente et de concentration.
Après environ 15 minutes, la thérapeute propose de m’allonger dans une confortable méridienne. Elle précise que lors des séances suivantes, les exercices se feront plutôt assise sur une chaise, puisque la sophrologie doit pouvoir se pratiquer dans des positions de tous les jours.
Très confortablement installée, je dois juste fermer les yeux et de me laisser guider par la voix de la sophrologue. Commencent alors de longues minutes où elle demande de me concentrer sur de nombreuses parties de mon corps ou de mon visage. Sa voix est posée, son débit est lent, je passe en revue toutes les tensions… et suis à un doigt (-même pas deux-) de m’endormir.
Une quarantaine de minutes se sont écoulées depuis le début de la séance. La thérapeute me guide pour reprendre un peu mes esprits, et j’ouvre les yeux, très apaisée.
Je constate que cette méthode peut aider facilement et simplement des personnes ayant des problèmes de stress, de concentration, ou tout autre trouble d’anxiété. Une belle découverte.
 

La sophrologie et la fibromyalgie

La sophrologie au secours des fibromyalgiques

Deux millions de Français souffrent de fibromyalgie, principalement des femmes entre 35 et 45 ans. La sophrologie peut leur apporter un plus contre les douleurs et l'anxiété. A tester pour aller mieux.

La fibromyalgie se caractérise par des douleurs diffuses et nombreuses dans tout le corps, et notamment au niveau des articulations. Elle s'accompagne également d'une fatigue chronique, de maux de tête, de troubles digestifs, de troubles génito-urinaires, d'anxiété.
Cette maladie n'est reconnue comme telle que depuis 1992 par l'Organisation mondiale de la santé, et c'est aujourd'hui, le 12 mai, la journée mondiale. A cette occasion, découvrez les bienfaits de la sophrologie sur la fibromyalgie.

Une amélioration rapide

Le premier travail sophrologique se fait sur l'anxiété, avec des exercices de relaxation dynamique (respirations et contractions musculaires). Dès la troisième séance, on obtient des résulats efficaces. Surtout, si les exercices sont pratiqués quotidiennement en dehors des séances chez le sophrologue, car cela permet de prendre le mal à la racine et de ne pas le laisser s'installer.
La sophrologie agit également sur la douleur en elle-même, grâce à des techniques qui détournent l'attention. Par exemple, on fait visualiser la douleur : quelle forme a-t-elle (pointue, piquante...), quelle est sa couleur (rouge, violette...), quelle est sa matière (fer, barbelé...). Ensuite, grâce à un travail de visualisation, on apprend à modifier cette douleur : si elle était pointue, elle s'arrondit. Si elle était rouge, elle devient rose. Si elle était en fer, elle se transforme en velours.
Cette représentation mentale permet d'isoler la douleur, de l'enrayer au quotidien. Ce n'est alors plus tout le corps qui souffre.

Retrouver le mouvement

Certaines personnes souffrant de fibromyalgie ont le corps qui se fige. Les mouvements doux effectués en sophrologie permettent de retrouver le mouvement, de remettre le malade dans une dynamique positive, de lui redonner de l'énergie, de la vitalité.
La sophrologie permet aussi, parfois, de pallier une prise de médicaments. C'est une approche à laquelle il faut penser pour améliorer son bien-être quotidien.

Source : http://www.santemagazine.fr/le-blog-expert-de-catherine-aliotta/la-sophrologie-au-secours-des-fibromyalgiques-60502.html

 

mardi 4 août 2015

Le bonheur est vraiment dans le pré !



Marcher 90 minutes dans la nature permet de lutter contre la dépression. 
D'après une équipe de chercheurs américains de l'université de Stanford, la nature aurait un impact positif sur notre bien être mental.

Les scientifiques ont demandé à deux groupes de volontaires de partir en ballade, l'un en milieu urbain le long d'une route très fréquentée, et l'autre en pleine nature.

Respiration, rythme cardiaque, activité cérébrale : tout a été passé au crible. Jusqu'au ressenti des cobayes.

Résultat : les personnes ayant marché 90 minutes parmi les cinquante nuances de vert avaient en moyenne un meilleur moral que ceux qui avaient arpenté le bitume. Mieux, ceux qui avaient foulé les prés et les champs présentaient une activité cérébrale moins importante dans l'une des zones du cerveau impliquée dans la dépression.

 "Bien qu'ils ne permettent pas encore de le prouver, ces résultats vont dans le sens d'un lien de causalité entre la progression de l'urbanisation et celle du taux de maladies mentales", a souligné l'un des responsables de l'étude.

Actuellement, plus de la moitié de la population vit dans des zones urbaines. D'ici 2050, la proportion pourrait atteindre 70 %.